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Portfolio
Livia Acquaviva est une artiste plurimédia développant une démarche artistique singulière où cohabitent photographie composite, composition numérique et acrylique sur toile.
Elle affirme ainsi une esthétique contemporaine résolument hybride.
Tirant son inspiration de tous les arts – et particulièrement les vitraux de la Renaissance, le Cubisme, le Fauvisme, le Mouvement Memphis, mais également le Glitch Art et le Vaporwave – Livia s’est construit un univers qui lui est propre.
Acrylique _ Photographie Composite _ Composition numérique


Peinture
Les peintures de Livia Acquaviva se distinguent par un style graphique acéré, empreint de couleurs vives, de formes fragmentées et de personnages stylisés, évoluant dans un monde où l’abstraction côtoie l’émotion humaine. Son travail évoque des influences croisées entre le cubisme, le vitrail moderne, et la ligne claire de l’illustration contemporaine.
Chaque tableau évoque un théâtre figé dans le temps, où les personnages, souvent pensifs, incarnent des archétypes intemporels.
À travers ses compositions, l’artiste explore les rapports humains, la solitude, la contemplation et parfois l’amour. Le regard des personnages, toujours expressif malgré leur stylisation, est conçu pour interroger celui qui regarde.
L’artiste joue également avec la dualité entre le mouvement et la fixité. Les lignes dynamiques suggèrent des gestes interrompus, des dialogues muets, comme si le temps s’était arrêté à un moment clé.
C’est une peinture qui raconte sans mots, où chaque forme peut être lue comme une note dans une partition émotionnelle ; une immersion dans un monde symbolique où chaque spectateur est libre d’interpréter, de ressentir et d’imaginer.
Chaque tableau évoque un théâtre figé dans le temps, où les personnages, souvent pensifs, incarnent des archétypes intemporels.
À travers ses compositions, l’artiste explore les rapports humains, la solitude, la contemplation et parfois l’amour. Le regard des personnages, toujours expressif malgré leur stylisation, est conçu pour interroger celui qui regarde.
L’artiste joue également avec la dualité entre le mouvement et la fixité. Les lignes dynamiques suggèrent des gestes interrompus, des dialogues muets, comme si le temps s’était arrêté à un moment clé.
C’est une peinture qui raconte sans mots, où chaque forme peut être lue comme une note dans une partition émotionnelle ; une immersion dans un monde symbolique où chaque spectateur est libre d’interpréter, de ressentir et d’imaginer.


Composition Numérique | Fragments.jpeg
Livia Acquaviva s’inscrit dans une lignée d’artistes qui utilisent le numérique pour reconnecter l’image au mythe, à la psyché, au sacré. Ce n’est pas une esthétique purement décorative, mais un art de la métamorphose, à la fois intime et cosmique. Elle invente un langage visuel où le corps devient interface entre l’invisible et le visible, entre mémoire et devenir.
Livia Acquaviva compose des mondes où l’invisible devient visible.
À travers le prisme du numérique, elle raconte la voyance, les chagrins en boucle, les promesses ajournées, les tapis volants et l’ADN des larmes anciennes.
Ses œuvres tressent le classicisme antique et les bugs de notre ère, les statues et les pixels, les visages et les interfaces.
Chaque image est un espace-temps parallèle : on y lit les galaxies dans les onglets, les corps dans les fenêtres, les vérités dans les zooms.
Derrière chaque fragment, une énigme — entre Atlas 2.0, Sisyphe heureux et Saint Jean-Baptiste digitalisé.
Une poésie fractale, où l’atome devient pixel, et le pixel, mémoire.
Livia Acquaviva compose des mondes où l’invisible devient visible.
À travers le prisme du numérique, elle raconte la voyance, les chagrins en boucle, les promesses ajournées, les tapis volants et l’ADN des larmes anciennes.
Ses œuvres tressent le classicisme antique et les bugs de notre ère, les statues et les pixels, les visages et les interfaces.
Chaque image est un espace-temps parallèle : on y lit les galaxies dans les onglets, les corps dans les fenêtres, les vérités dans les zooms.
Derrière chaque fragment, une énigme — entre Atlas 2.0, Sisyphe heureux et Saint Jean-Baptiste digitalisé.
Une poésie fractale, où l’atome devient pixel, et le pixel, mémoire.


Photographie Composite | Chambres noires pour nuits blanches
Chambres noires pour nuits blanches est une série composée de photographies dédiées à l’étude du Clair-obscur. Pour chaque composite, l’artiste superpose plusieurs clichés de nature morte en prise de vue studio.
Le personnage récurrent dans ces décors minimalistes n’est autre que le David de Michel-Ange. Le sujet est photographié sous plusieurs angles, à partir d’une statue miniature de plâtre, multipliée ou encore distordue. Il est inséré dans l’espace composite, combinant éléments de design et rayons lumineux.
Derrière les décors épurés et les paysages flous – entre grottes et cascades – se cachent des pièces de mobilier signés Panton, Urquiola, ou encore Arsham. Horloge, chaise et table sont au service de la scénographie.
Chambres noires pour nuits blanchesengage ainsi une réflexion sur le Clair-obscur ; plus particulièrement une interprétation de l’allégorie de la caverne de Platon. Les David et les objets existent dans un monde sombre et leurs ombres sont projetées contre les murs. La source de lumière est cachée. Est-ce la réalité, ou une simple projection ?
Au croisement, entre photographie, mythologie et design, les rayons lumineux se mélangent et se combinent vers un endroit où personne ne pourrait jamais s’y rendre, mais que l’œil a déjà parcouru.
Nuits Blanches c’est aussi un roman sentimental de Dostoievski, une histoire du passé et d’un ancien compagnon qui s’appelle David. 40 nuits et un matin en sont les chapitres intimes : le rayon du matin suggère le renouveau, la sortie de la caverne.
"Maintenant, regarde le Soleil."
Le personnage récurrent dans ces décors minimalistes n’est autre que le David de Michel-Ange. Le sujet est photographié sous plusieurs angles, à partir d’une statue miniature de plâtre, multipliée ou encore distordue. Il est inséré dans l’espace composite, combinant éléments de design et rayons lumineux.
Derrière les décors épurés et les paysages flous – entre grottes et cascades – se cachent des pièces de mobilier signés Panton, Urquiola, ou encore Arsham. Horloge, chaise et table sont au service de la scénographie.
Chambres noires pour nuits blanchesengage ainsi une réflexion sur le Clair-obscur ; plus particulièrement une interprétation de l’allégorie de la caverne de Platon. Les David et les objets existent dans un monde sombre et leurs ombres sont projetées contre les murs. La source de lumière est cachée. Est-ce la réalité, ou une simple projection ?
Au croisement, entre photographie, mythologie et design, les rayons lumineux se mélangent et se combinent vers un endroit où personne ne pourrait jamais s’y rendre, mais que l’œil a déjà parcouru.
Nuits Blanches c’est aussi un roman sentimental de Dostoievski, une histoire du passé et d’un ancien compagnon qui s’appelle David. 40 nuits et un matin en sont les chapitres intimes : le rayon du matin suggère le renouveau, la sortie de la caverne.
"Maintenant, regarde le Soleil."


Photographie Composite | 9.81 Tanger
Projet dédié à la ville de Tanger (Maroc) ⵜⴰⵏⵊⴰ
Entre deux continents, entre une mer et un océan, Tingis, tu glisses entre deux mondes.
Si la Terre est bleue comme une orange, je crois qu’elle est ronde comme une Tangerine ~ bosselée, faite de couches, de quartiers et de pôles aplatis.
Tanger, tu m’as invitée. Et je t’ai trouvée sous la pluie. J’ai voulu retenir tes larmes dans une boîte à miroir. J’ai trouvé des hommes et des femmes, j’ai saisi leurs regards. Parfois sans leur demander. Dis-leur de me pardonner.
Tanja, entre le réel, mon œil et mon doigt, j’ai pris une seule photo de toi ~ une série de cent clichés.
Entre ces images et toi, j’ai perçu dans une fraction du temps et de l’espace, des passages, des portails, la dilution du positif dans le négatif ~ plusieurs mondes grouillant dans une pellicule.
Entre chaque mondes, je crois qu’il y a deux mondes, et entre eux deux, j’en devine encore deux, encore deux mille.
Tu glisses entre deux mondes, Tingis ~ entre mille mondes tu glisses.
Tanger, j’ai essayé d’absorber ta lumière et ton conseil. J’ai gardé l’invisible
~ l’insolation dans la nuit.
9.81]Entre deux mondes[TANGER
Entre deux continents, entre une mer et un océan, Tingis, tu glisses entre deux mondes.
Si la Terre est bleue comme une orange, je crois qu’elle est ronde comme une Tangerine ~ bosselée, faite de couches, de quartiers et de pôles aplatis.
Tanger, tu m’as invitée. Et je t’ai trouvée sous la pluie. J’ai voulu retenir tes larmes dans une boîte à miroir. J’ai trouvé des hommes et des femmes, j’ai saisi leurs regards. Parfois sans leur demander. Dis-leur de me pardonner.
Tanja, entre le réel, mon œil et mon doigt, j’ai pris une seule photo de toi ~ une série de cent clichés.
Entre ces images et toi, j’ai perçu dans une fraction du temps et de l’espace, des passages, des portails, la dilution du positif dans le négatif ~ plusieurs mondes grouillant dans une pellicule.
Entre chaque mondes, je crois qu’il y a deux mondes, et entre eux deux, j’en devine encore deux, encore deux mille.
Tu glisses entre deux mondes, Tingis ~ entre mille mondes tu glisses.
Tanger, j’ai essayé d’absorber ta lumière et ton conseil. J’ai gardé l’invisible
~ l’insolation dans la nuit.
9.81]Entre deux mondes[TANGER
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